29 octobre 2013

Vu de Sirius



Sirio, ca 1917


Dessinateur protéiforme et foisonnant né en 1890 à Oviedo dans les Asturies, Nicanor Álvarez Díaz émigre à vingt ans en Argentine et devient fameux sous le nom d’Alejandro Sirio qu’il choisit (comme masque ?) quand il commence à publier dans Caras y Caretas (Visages et Masques), puis dans un grand nombre de journaux dont La Prensa et La Nación, et de signer quantité d’illustrations de livres, dont La Gloria de Don Ramiro et De Palermo à Montparnasse. En 1940 il devient professeur à l’école des beaux-arts Prilidiano Pueyrredón de Buenos Aires.

Sirio, Caras y Caretas



Sirio, Caras y Caretas
Peut-être publié à l’occasion de la mort du scientifique, en 1934.



Sirio


28 octobre 2013

Rythme de croisière



Fougasse, Punch, 1934
I may not be able to get ashore to morrow to see Pompeii. 
There’s some talk of holding the final of deck-billiards. 


21 octobre 2013

Caras y Caretas



Víctor Valvidia, 1937

Víctor Valvidia, né en 1897 en Bolivie, se rend à Buenos Aires à vingt-deux ans pour y étudier avant de faire les beaux jours du magazine Caras y Caretas entre 1925 et 1939fondé à Buenos Aires en 1898 (après une première naissance en 1890 à Montevideo) et publié chaque semaine jusqu’en 1941. Le titre a été relancé par deux fois, en 1982 à l’occasion de la guerre des Malouines, et en 2005. 


Víctor Valvidia, 1935


Víctor Valvidia, 1931


Víctor Valvidia, 1933


Víctor Valvidia, 1935


Víctor Valvidia, 1929


Víctor Valvidia, 1933


Víctor Valvidia, 1933


Víctor Valvidia, 1931


Víctor Valvidia, 1933


Víctor Valvidia, 1933

18 octobre 2013

Espagne 1936



Pedrero (ca 1936)



Les informations à propos de Pedrero et de Juan Antonio Morales manquent cruellement. Espérons que cette publication y aide en interpellant quelque spécialiste. 


Juan Antonio Morales (nov. 1936)


Pedrero


Juan Antonio Morales (1936)

10 octobre 2013

Le reniement d’Arnold





Après la prise du pouvoir par Hitler qui entraîna le Simplicissimus dans son sillage, Karl Arnold ne fut pas des dessinateurs qui, au sein de la rédaction, firent tomber la tête de Th. Th. Heine, fondateur et directeur de la revue, contraint de prendre le chemin de l’exil pour échapper à une arrestation certaine.
Néanmoins, Karl Arnold, qui n’eut jamais sa carte au parti nazi, n’interrompit pas sa collaboration (il dirigea même la rédaction quelques mois à partir de la fin 1933) et répondit diligemment à diffuser le nouveau message, épousant la vision paranoïaque du régime, où l’Allemagne est menacée par l’URSS, l’Empire britannique, l’Amérique, c’est-à-dire le monde la finance, et bien sûr la France coupable d’avoir voulu mettre l’Allemagne à genoux suite à la Première Guerre mondiale, déjà les cibles du Simplicissimus à ceci près que le danger hitlérien n’était pas moins ardemment dénoncé, dès ses prémisses, sans relâche, tout le long des années vingt (Karl Arnold, grand témoin de la République de Weimar — et non son contempteur comme le régime nazi crut bon de lui en faire crédit — n’était pas le dernier en la matière), jusque encore à la veille de son élection.

http://plusoumoinstrente.blogspot.fr/2012/11/le-numero-du-12-fevrier-1933.html
http://plusoumoinstrente.blogspot.fr/2013/03/lappel-de-lepoque.html


4 juin 1933

18 juin 1933

9 juillet 1933

23 juillet 1933

3 septembre 1933

1er octobre 1933

29 octobre 1933

29 octobre 1933

29 octobre 1933

3 juin 1934

8 juillet 1934

7 octobre 1934

7 octobre 1934

25 novembre 1934

7 octobre 2013