16 septembre 2012

La poésie de combat


Erich Wilke, Jugend, 13 novembre 1926 

L’académie des poètes ne faisait pas rire que les dessinateurs du Simplicissimus, le Jugend, de tradition moins ouvertement satirique, avait inauguré cette institution deux ans avant son confrère — reste à savoir comment l’idée fut reprise par Heine puis par Gulbransson — où Thomas Mann tenait aussi le haut du pavé, ici sous le trait d’Erich Wilke, le frère cadet de Rudolf qui fut un pilier du Simplicissimus de 1899 jusqu’à sa mort prématurée en 1908, après avoir débuté au Jugend en 1896 (http://rudolfwilke.blogspot.fr/).

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